« A Bozoum, j’étais au congé, les hommes armés ont braqué une jeune fille, les rebelles l’ont pris dans la brousse par la force, les éléments de la MINUSCA ont tout vu, mais ils n’ont rien fait. C’était un espoir pour nous, mais ils font rien, maintenant on a peur parce qu’ils sont les amis des rebelles. La non-intervention de la MUNISCA est considérée comme la coopération avec les rebelles. C’est grâce aux amis russes et rwandais qui sont intervenus et ils nous ont vraiment aidé. »
Témoin
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